
La Fugue de Barbarie
L’histoire authentique et unique d’un être qui, déterminé à vivre, saura trouver sa ligne de fuite face à la Barbarie.
La Fugue de Barbarie
L’histoire authentique et unique d’un être qui, déterminé à vivre, saura trouver sa ligne de fuite face à la Barbarie.

L'histoire
Avril 1945. Ce jeune garçon va-t-il mourir ?
Février 1944. Dénoncé, il est arrêté avec ses camarades résistants et emprisonné par la Gestapo.
Avril 1994. À Royallieu-Compiègne, il est jeté dans un wagon à bestiaux bondé jusqu’à la gueule. Un trajet cauchemardesque, sans boire, ni manger, l’emmène à Auschwitz-Birkenau. Démarre pour lui un périple où l’inhumanité, la négation de l’individu, les privations et les mauvais traitements sont quotidiens pendant un an. Avec détermination, il survit – malgré tout – aux pires camps d’extermination nazis : Auschwitz-Birkenau, Buchenwald, Flossenbürg, Hersbruck, Dachau.
29 avril 1995. C’est une lueur de 35 kilos, auto-mutilé, rongé par le typhus, la dysenterie, la pleurésie que les Américains découvrent et soignent à la libération de Dachau.
Juin 1945. S’ouvre alors un nouveau combat difficile : celui de sa reconstruction, avec des blessures physiques et psychiques qui ne cicatriseront jamais complètement.
Cet homme, modèle de courage, je le connais très bien. C’est mon père.
Edition: les passagères
L'histoire
Avril 1945. Ce jeune garçon va-t-il mourir ?
Février 1944. Dénoncé, il est arrêté avec ses camarades résistants et emprisonné par la Gestapo.
Avril 1994. À Royallieu-Compiègne, il est jeté dans un wagon à bestiaux bondé jusqu’à la gueule. Un trajet cauchemardesque, sans boire, ni manger, l’emmène à Auschwitz-Birkenau. Démarre pour lui un périple où l’inhumanité, la négation de l’individu, les privations et les mauvais traitements sont quotidiens pendant un an. Avec détermination, il survit – malgré tout – aux pires camps d’extermination nazis : Auschwitz-Birkenau, Buchenwald, Flossenbürg, Hersbruck, Dachau.
29 avril 1995. C’est une lueur de 35 kilos, auto-mutilé, rongé par le typhus, la dysenterie, la pleurésie que les Américains découvrent et soignent à la libération de Dachau.
Juin 1945. S’ouvre alors un nouveau combat difficile : celui de sa reconstruction, avec des blessures physiques et psychiques qui ne cicatriseront jamais complètement.
Cet homme, modèle de courage, je le connais très bien. C’est mon père.
Edition: les passagères

Extrait
« Lorsque le blockführer vient comme chaque matin visiter les blocks, il me demande ce que j’ai fait. Je lui dis, bravache, que je ne comprends pas l’allemand. Il appelle le chef de block qui lui raconte mon méfait. Le blockführer conclut qu’un comportement comme le mien, dans son block, est inadmissible. Cela mérite, une punition exemplaire, voire la pendaison. Ainsi informé, l’officier SS ordonne qu’on me punisse de vingt-cinq coups de tuyaux en caoutchouc. Ouf, j’ai déjà échappé à l’horreur de la pendaison. C’est mieux que rien. »

Extrait
« Lorsque le blockführer vient comme chaque matin visiter les blocks, il me demande ce que j’ai fait. Je lui dis, bravache, que je ne comprends pas l’allemand. Il appelle le chef de block qui lui raconte mon méfait. Le blockführer conclut qu’un comportement comme le mien, dans son block, est inadmissible. Cela mérite, une punition exemplaire, voire la pendaison. Ainsi informé, l’officier SS ordonne qu’on me punisse de vingt-cinq coups de tuyaux en caoutchouc. Ouf, j’ai déjà échappé à l’horreur de la pendaison. C’est mieux que rien. »
Avis
Maud
L’écriture est simple, les chapitres courts, un parfait combo pour un récit rapide, fluide et une proximité avec le protagoniste. Nous traversons l’Histoire à ses cotes, luttons avec lui pour sa survie. Nous vivons ses émotions à vifs, un peu comme avec un ami qui nous confierait ses pires cauchemars.
Un livre qui réveille, nous émeut et nous rappelle jusqu’où la haine et l’ignorance peuvent mener.
David
J’ai toujours autant de plaisir à te lire. C’est sec, sans gras, direct, factuel, tu n’essaies pas de “faire des phrases”, ni de la littérature, et donc, tu en fais. Rien n’est pire que ceux qui “veulent faire de la littérature”, ça se voit toujours.
Jean-Luc
Chapitres courts et rythmés comme un thriller « page turner » (ex : à couper le souffle d’Alexis Laipsker), style sobre, précis, factuel, sans fioriture ni pathos, c’est à la fois un livre de famille et un livre de mémoire.
Élisabeth
Ta puissance narrative permet de décrire avec réalisme, ce qui paraît irréel. Tu as réussi cet exploit littéraire absolument étonnant, sans pathos, sans introspection complexe à exprimer ce que ton père avait en lui.
Ton père ne voulait pas mourir et aujourd’hui grâce à ton livre, il devient immortel.
Christophe
J’ai lu d’une traite le livre. J’y ai retrouvé ton papa, ce qu’il avait bien voulu nous raconter et même plus… Je l’ai également retrouvé dans ses expressions, son côté bon vivant, joyeux…
Wolfgang
Bien que j’aie lu beaucoup de témoignages d’anciens détenus des camps de concentration en Allemagne, ce livre m’a ému plus que les autres. C’est d’une part parce que j’ai connu Roger personnellement et que j’ai déjà écouté ses témoignages lors des pèlerinages. Mais là, il s’était limité à des généralisations et a plutôt été modeste et réservé. Tandis qu’ici, on découvre beaucoup de nuances de sa personnalité et peut mieux ressentir ce qu’il a souffert. Et cela surpasse tout ce que j’ai lu jusqu’alors. En plus, le style et le langage directs permettent une meilleure identification avec ce qu’on lit.
Denis
On y retrouve bien ton père qui nous a accompagné fidèlement dans nos nombreux pèlerinages.
Maud
L’écriture est simple, les chapitres courts, un parfait combo pour un récit rapide, fluide et une proximité avec le protagoniste. Nous traversons l’Histoire à ses cotes, luttons avec lui pour sa survie. Nous vivons ses émotions à vifs, un peu comme avec un ami qui nous confierait ses pires cauchemars.
Un livre qui réveille, nous émeut et nous rappelle jusqu’où la haine et l’ignorance
peuvent mener.
David
J’ai toujours autant de plaisir à te lire. C’est sec, sans gras, direct, factuel, tu n’essaies pas de “faire des phrases”, ni de la littérature, et donc, tu en fais. Rien n’est pire que ceux qui “veulent faire de la littérature”, ça se voit toujours.
Jean-Luc
Chapitres courts et rythmés comme un thriller « page turner » (ex : à couper le souffle d’Alexis Laipsker), style sobre, précis, factuel, sans fioriture ni pathos, c’est à la fois un livre de famille et un livre de mémoire.
Élisabeth
Ta puissance narrative permet de décrire avec réalisme, ce qui paraît irréel. Tu as réussi cet exploit littéraire absolument étonnant, sans pathos, sans introspection complexe à exprimer ce que ton père avait en lui.
Ton père ne voulait pas mourir et aujourd’hui grâce à ton livre, il devient immortel.
Christophe
J’ai lu d’une traite le livre. J’y ai retrouvé ton papa, ce qu’il avait bien voulu nous raconter et même plus… Je l’ai également retrouvé dans ses expressions, son côté bon vivant, joyeux…
Wolfgang
Bien que j’aie lu beaucoup de témoignages d’anciens détenus des camps de concentration en Allemagne, ce livre m’a ému plus que les autres. C’est d’une part parce que j’ai connu Roger personnellement et que j’ai déjà écouté ses témoignages lors des pèlerinages. Mais là, il s’était limité à des généralisations et a plutôt été modeste et réservé. Tandis qu’ici, on découvre beaucoup de nuances de sa personnalité et peut mieux ressentir ce qu’il a souffert. Et cela surpasse tout ce que j’ai lu jusqu’alors. En plus, le style et le langage directs permettent une meilleure identification avec ce qu’on lit.
Denis
On y retrouve bien ton père qui nous a accompagné fidèlement dans nos nombreux pèlerinages.